Mali, April 14 -- L’année 2024, décrétée “année de la réconciliation nationale” par le président de la transition malienne, Assimi Goïta, est marquée par un regain de violence dans le nord du pays. Les attaques terroristes, attribuées aux séparatistes de l’Azawad, menacent le processus de dialogue inter-malien et le retour à la paix.

Alors que le gouvernement s’efforce d’engager un dialogue inclusif pour apaiser les tensions communautaires et intercommunautaires, certains groupes séparatistes persistent dans la violence. L’utilisation d’engins explosifs improvisés (EEI) dans les régions de Tombouctou, Kidal et Ménaka a causé de nombreuses victimes, tant parmi les civils que les militaires.

La question se pose de savoir si la lutte pour ...